TRADITIONS Louise Lateau et les stigmates de la Passion du Christ


Louise Lateau


LOUISE LATEAU

Les stigmates de la Passion du Christ


Louise Lateau est née le 29 janvier 1850 à Bois-d'Haine (Manage), près de La Louvière, en Belgique.  Elle meurt le 25 août 1883 à Bois-d’Haine.

A partir de sa dix-huitième année, Louise Lateau manifeste, chaque vendredi, un phénomène que la tradition mystique chrétienne nomme « les stigmates de la Passion du Christ » :  sur ses mains et ses pieds, ainsi que sur son côté gauche à hauteur du cœur, apparaissent des plaies d’où s’échappe du sang, en « imitation » des souffrances qu’endura le Christ lors de la Crucifixion.

Plusieurs enquêtes, ecclésiastiques et scientifiques, démontrent l’authenticité de ces faits, aucune supercherie n’ayant été décelée. Bien sûr, ecclésiastes et scientifiques ne s’accordent pas sur l’origine du phénomène. Toujours est-il que cette affaire est largement diffusée par la presse de l’époque, et la notoriété de Louise Lateau, dépassant les frontières de la Belgique, provoque un émoi tel que de nombreux visiteurs, provenant du monde entier, effectuent le déplacement qui les mène à Bois-d’Haine.

Après sa mort, sa tombe devient un lieu de pèlerinage, et l’on évoquera la survenance de « miracles ». Une longue procédure de béatification fut alors engagée, mais le Vatican, en 2009, signifia son rejet de la demande.

Le Docteur Imbert-Gourbeyre, professeur à l’école de médecine de Clermont-Ferrand, qui fut l’un des « examinateurs » de Louise Lateau, a rédigé en 1873 un long rapport sur ce cas. Bien qu’étant un « scientifique », il conclut au caractère surnaturel des manifestations.

Je vous propose de prendre connaissance ici de son texte.

Charles Saint-André





























































































































































































































































AFFICHES "ART NOUVEAU" DE HENRI PRIVAT-LIVEMONT

.

.

.

.

.

.

.

.

.

.

.

.

.

.

.

.